Dans le temps de la jeunesse, on n'aime que le plaisir. Dans un âge plus mûr, même dans la vieillesse, par d'autres passions on se laisse saisir. Ainsi donc, de songe en songe, esclave de l'erreur, esclave du mensonge, on arrive au dernier moment. Peut-être touchons-nous à ce moment funeste ; employons le temps qui passe et qui nous reste à réparer celui de notre aveuglement.